C’est ainsi que les Indiens fêtent chaque année l’arrivée du printemps, à la pleine lune de la fin février-début mars, en s’arrosant mutuellement - touristes compris – de toutes les poudres colorées qu’ils parviennent à trouver. Du vert, du bleu, de l’orange, avec une nette préférence pour les rose (indien, bien entendu), couleur de bienvenue dans leur pays. On regrettera simplement que, depuis quelque temps, les poudres végétales traditionnelles soient de plus en plus souvent remplacées par des colorants industriels (voir l’homme qui brandit l’aérosol, à droite), moins chers mais parfois toxiques : en 2008, à Kanpur, vingt personnes avaient dû être hospitalisées. (K. K. Arora/Reuters
Así es como los indios celebran cada año la llegada de la primavera, a la luna llena de finales de febrero - principio el marzo, regándose(rociándose) mutuamente - turistas comprendidos - de todos los polvos coloreados que llegan a encontrar. Del verde, del azul, de la naranja, con una preferencia neta para rosa (el océano Índico, desde luego), color de bienvenida en su país. Simplemente sentiremos que, desde hace algún tiempo, los polvos vegetales tradicionales sean cada vez más a menudo reemplazados por colorantes industriales (ver al hombre que blande el aerosol, a la derecha), más barato pero a veces tóxicos: en 2008, en Kanpur, veinte personas habían debido ser hospitalizadas. (K.K. Arora / Reuters
Le Figaro
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