C’est la tradition. Chaque année, entre mai et août, les chevaux sauvages de Galice, introduits par les Celtes au VIIe siècle avant J.-C., sont regroupés pour les fêtes folkloriques rapa das bestas. C’est l’occasion de leur apporter des soins, de leur tailler la crinière et la queue, avant de les marquer au fer pour les identifier. Les plus beaux spécimens peuvent être vendus aux amateurs. Les poneys galiciens de pure race, environ 2 000 têtes, ne participent quasiment jamais à ces réjouissances. Le manuel des éleveurs du cabalo de pura raza galega interdit en effet la plus petite maltraitance, y compris le marquage au fer rouge. PHOTO : MIGUEL VIDAL / REUTERS
Le Figaro
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